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European Rivers NetworkDetails on our Newsliste "Loire River Basin"
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de rivières, projets & campagnes
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Généralités sur les rivières
(morphologie, formes, menaces)
La politique de l'eau et de l'aménagement des rivières
05.01.06 : Sécheresse : la solution ne tombera pas du ciel
Article SOS Loire Vivante
L'année 2006 pourrait être catastrophique en terme de sécheresse : selon le Ministère de l'Ecologie et du Développement Durable (MEDD), il manque entre 30 et 50% des pluies sur une large partie du territoire. Certains départements n'ont d'ailleurs pas levé les restrictions qu'ils avaient prises l'année dernière. C'est du jamais vu en cette saison ! La situation est tellement grave que des coupures d'eau potable pourraient être envisagées dans certaines villes cet été ! Nelly Olin lance donc un appel aux agriculteurs pour qu'ils se mobilisent à la hauteur de la situation que nous risquons d'affronter cet été : "Il est important que les agriculteurs tiennent compte de la situation actuelle dans le choix des cultures qui seront implantées au printemps. C'est aujourd'hui, au moment de l'achat de semences qu'il faut anticiper. "Le monde de l'agriculture est en effet en première ligne quant aux nécessaires économies d'eau : il représente à lui seul 68 % de la consommation. Plus grave, note Elisabeth Chesnais (UFC-Que choisir), alors que les autres secteurs étalent leur consommation tout au long de l'année, l'agriculture la concentre sur la période estivale. En plein été, sa part passe à 90% du total consommé dans les régions de grandes cultures, l'eau potable et l'industrie se partageant les 10% restants. En cause, l'irrigation du maïs qui a explosé ces dix dernières années. Mais pour autant, les agriculteurs son-ils responsables de la situation ? La Politique Agricole Commune y a largement contribué par des subventions incitatives : 330 € par hectare de maïs (contre 45 pour un hectare de prairie). Et si cet hectare est irrigué, 200 € de plus ! Comment refuser cette manne ? Comme si cette incitation ne suffisait pas, les Agences de l'Eau y vont aussi de leur soutien à l'irrigation. Dans le bassin Loire-Bretagne, l'Agence a accordé 5,38 millions d'€ d'aides aux créations de retenues. Cette politique d'aides à l'irrigation, fustigée par la Cour des Comptes, est d'autant plus incohérente que les Agences doivent par ailleurs financer la dépollution d'une eau contaminée par les nitrates et les pesticides de ce type de cultures.
Le problème ne sera pas résolu par la future loi sur l'eau puisqu'elle ne prévoit pas de mieux responsabiliser le monde agricole. Cependant, certaines évolutions législatives permettraient un certain espoir : d'une part le découplage des aides de la nouvelle PAC (ainsi les primes maïs disparaissent). D'autre part, l'idée d'une redevance augmentée en période estivale fait son chemin. Ces deux mesures pourraient permettre la diminution des surfaces actuellement cultivées en maïs Si le monde agricole joue le jeu. Or rien n'est moins sûr. Selon le MEDD, l'expérience de 2005 a montré que dans certaines régions les surfaces en cultures les plus exigeantes en eau avaient diminué de 20%. Cet effort des agriculteurs a été salué de nombreuses reprises car il était réel. Cependant, le lobby des grands céréaliers (Limagrain), appuyé par le Ministère de l'Agriculture, pèse de tout son poids pour la création de nouvelles réserves d'eau (de nouveaux barrages, donc) - alors que les barrages existants ne sont qu'à moitié pleins. Bien sûr, ces programmes sont présentés comme des "barrages de soutien d'étiage". Mais c'est oublier que si les rivières sont à sec en été, c'est déjà à cause de l'irrigation ! Frédéric Cameo Ponz, administrateur de l'Agence Adour-Garonne et vice-président de l'association Nature Midi-Pyrénées, explique qu' "En été, le déficit en eau du bassin de la Garonne s'élève à 110 millions de mètres cubes alors que l'irrigation y consomme 370 millions de mètres cubes. Le projet du barrage de Charlas est destiné à fournir ces 110 millions de mètres cubes manquants. Mais sa construction coûterait au minimum 300 millions d'€, à la charge du contribuable, puis son fonctionnement 2,5 millions par an. C'est un gâchis d'argent public que l'on peut éviter en diminuant de 15% les prélèvements de l'irrigation. En optimisant les méthodes et le matériel d'irrigation et en convertissant seulement 10 à 20% de la surface irriguée en d'autres cultures, on y parvient". Enfin, l'apparition de nouveaux marchés pour les dérivés du maïs, comme les sacs biodégradables, ne vont pas dans le sens d'une diminution de la production.
L'UFC - Que choisir regrette les "mesurettes" proposées par le MEDD et fait une contre-proposition très ambitieuse : que soit mobilisé chaque année un milliard d'€ pour aider les agriculteurs à changer leurs pratiques et à reconvertir partiellement leur production dans les régions où l'eau est en danger. Ce budget d'un milliard serait obtenu par une redistribution vertueuse des subventions accordées à l'agriculture par l'Europe (700 millions) et de prélever de l'argent sur les mono productions intensives et défavorables à l'eau (300 millions par le biais de taxes sur les nitrates et les pesticides, ainsi que sur la consommation d'eau). Cet argent serait intégralement reversé aux exploitants sous la forme d'aides agroenvironnementales. Ainsi les agriculteurs seraient incités à changer leurs pratiques tout en conservant leurs revenus. La balle est dans le camp du gouvernement
Sources :
- Site du MEDD,
- UFC Que choisir sur le Site Planète Bleue,
- UFC Que Choisir sur le Site du JDLE,
26.01.05 : Rétrocession des biens de la Haute Vallée de la Loire : S
OS Loire Vivante entre satisfaction et réserves (format doc )
12.05.04 : Programme d'activités de sensibilisation de SOS Loire Vivante
Dans le cadre de ses activités de sensibilisation à l'environnement, de découverte de la Haute Vallée de la Loire et de son patrimoine, l'association SOS Loire Vivante vous propose une série d'animations et de randonnées naturalistes.
Celles-ci, réparties sur la période estivale, sont ouvertes à tous et destinées à un large public. Elles peuvent être d'ordre très général, avec une présentation du site à travers son histoire, ses richesses naturelles et humaines, ou à thème (ornithologie, connaissance du milieu aquatique ). Ainsi, vous pourrez découvrir cette immense richesse biologique dans un cadre sauvage et préservé, où évoluent diverses espèces emblématiques comme la Loutre, le Grand-Duc d'Europe ou l'Ombre commun, poisson très recherché par les pêcheurs.
En complément de ses ballades, des stages de découverte de la géologie et du paysage sont dispensés au cours de la saison au Mas de Bonnefont par des animateurs qualifiés bénévoles ou salariés de l'association. Ce Mas est une ferme traditionnelle que SOS Loire Vivante a rénovée et qui se situe en fond de vallée sur la rive droite du fleuve. Cette maison, qui aspire à devenir un véritable lieu d'accueil et d'information du public, vous attend dans un cadre préservé et authentique. Ces stages, conçus pour un large public (attention effectif limité !) sont l'occasion de se familiariser avec notre environnement
Enfin, autre curiosité du site à 200m en aval du Mas, la Source de Bonnefont, située sous le village des Salles de St Martin de Fugères, connue depuis l'Antiquité pour son eau légèrement gazéifiée et ferrugineuse et longtemps exploitée et mise en bouteille.Programme d'activités
22 Mai: Initiation à la lecture de paysages: 14h30 - 17h00
19 Juin: Première Nuit de lété: 20h30 - 22h30 (Prévoir un casse-croûte)
26/27 Juin: Initiation à la lecture de paysages et à la Géologie RDV: 14h30
7 Juillet: Découverte des richesses des Gorges de la Loire : 9h00 - 12h00
16 Juillet: La source minérale de Bonnefont : 14h00-17h00
21 Juillet: Les oiseaux de la Haute Vallée de la Loire : 9h00-12h00
28 Juillet: Les bords de Loire : 9h00-12h00
30 Juillet: La source minérale de Bonnefont: 9h00-12h00
4 Août: Découverte des richesses des Gorges de la Loire : 9h00-12h00
11 Août: La source minérale de Bonnefont : 14h00-17h00
18 Août: Les bords de Loire : 9h00-12h00
20 Août: Les oiseaux de la Haute Vallée de la Loire : 9h00-12h00Notez bien, l'inscription est obligatoire. Alors contactez- nous :
SOS Loire Vivante, 8 rue Crozatier, 43000 Le Puy en Velay
Tel: 04.71.05.57.88 ou mathilde.beguier arobase rivernet.org
01.03.04 : Depuis quelques mois la septième édition du concours Rivières d'Images et Fleuves de Mots est lancée
Les 50 classes participant au concours se repartissent sur 15 départements allant de la Loire Amont jusqu'à l'estuaire en passant par les nombreux affluents. Voici la composition par départements de ces classes inscrites au concours.
- Allier (03) 1 classe
- Cher (18) 1 classe
- Indre et Loire (37) 9 classes
- Loir et Cher (41) 1 classe
- Loire (42) 7 classes
- Haute-Loire (43) 1 classe
- Loire Atlantique (44) 8 classes
- Loiret (45) 8 classes
- Maine et Loire(49) 5 classes
- Mayenne (53) 1 classe
- Nièvre (58) 1 classe
- Puy de Dôme (63) 4 classes
- Saône et Loire (71) 2 classes
- Sarthe (72) 2 classes
- Vienne (86) 1 classeTous les niveaux scolaires sollicités ont répondu présents pour participer au concours. C'est ainsi que l'on retrouve 9 classes de collège, 24 classes du cycle III, 11 classes du cycle II et 7 classes de maternelle.
L'objectif de cette action est de sensibiliser les enfants à l'importance des rivières par une approche ludique et artistique.
Pour ce, les enfants vont être amenés dans un premier temps à se situer au sein du bassin versant de la Loire. Ceci afin de bien comprendre qu'ils appartiennent à un même ensemble complexe et fragile dont chaque acteur, qu'il soit écolier, agriculteur, pêcheur ou industriel, fait parti et est en relation directe ou indirecte avec les autres acteurs et, bien entendu, avec le milieu naturel.
La seconde partie du travail consistant à réaliser des actions liées au thème choisi pour cette édition : " Qualité de l'eau et biodiversité ". Nous proposons quelques activités au travers du guide pédagogique distribué à chaque classe participante mais les activités reste libres et peuvent faire appel à toutes sortes d'interventions extérieures.
La finalisation de ce travail passera par la réalisation d'une uvre plastique et/ou poétique en relation avec le thème de cette édition et surtout relatant les découvertes que les enfants auront pu faire sur et autour de leur cours d'eau petit bout de Loire.14.02.04 : TV: "Voyage en Ligerie" (serie sur la Loire sur la chaine "Odysee" pendant les prochaines 3 semaines)
durant les prochaines trois semaines la chaine Odyssee diffusera une série
"Voyage en Ligérie" sur la Chaîne Odyssée (voir grille programme)"
Titres des trois films (3x26 min): - La Loire Amont, un fleuve impétueux - La Loire moyenne, un fleuve de sable - La Loire aval, un fleuve qui se creuse !
ABSOLUMENT A VOIR !!Communiqué de presse BC Communication, 14.02.04:
VOYAGE EN LIGERIE ( 3x26 Min):
un film de Philippe Fontenoy et Frédéric Tyrode Saint-Louis
réalisé par Philippe Fontenoy
musique originale Wallerand de CrépyUne coproduction France 3 Aquitaine Beau Comme une Image Odyssée
Entre patrimoine et environnement, la Loire, le dernier fleuve sauvage d'Europe, se révèle d'un intérêt considérable mais son devenir est entre les mains des ligériens, ces hommes et femmes de Loire et ceux qui vivent sur ses affluents.
Cest pour cela que nous nous intéresserons à eux pour comprendre, découvrir ces territoires...., leur histoire, leurs milieux naturels et leurs enjeux.Mais notre parti- pris est rigoureux, il consiste, en compagnie du géologue et naturaliste Gilbert Cochet, d'abord à expliquer/décrypter simplement, à bord d'un avion et au sol, les grands phénomènes de géomorphologie fluviale et les paysages géologiques au fil de l'eau.
Pour ensuite examiner, mieux comprendre les conséquences sur les milieux naturels et les hommes.
Ces derniers ayant dans la plus part des cas modifié le fonctionnement hydrologique de la Loire, pour se protéger ou profiter des caractéristiques du fleuve, à savoir:
Construction de barrages contre les crues mais aussi pour l'énergie hydro-électrique, Exploitation des abondant granulats charriés par l'eau pour la construction,
la chenalisation du lit mineur en (basse Loire) pour la navigation
...etc.
Ces aménagements ayant induit des modifications sur les milieux naturels, sur les modes de vie des ligériens et ont façonné la Loire d'aujourd'hui mais ils ont également amenés, par réaction, à penser le fleuve autrement, à le concevoir comme un espace de liberté. C'est le plan Loire grandeur nature de 1994...lancé il y a tout juste 10 ans.Pour traduire cette nouvelle volonté nous avons choisi trois grandes entrées thématiques, chacune articulée autour d'un grand phénomène hydrologique, pour aborder la Loire de l'aval à l'amont, à savoir :
- La Loire aval : un fleuve qui se creuse
- La Loire moyenne : un fleuve de sable
- La loire amont et supérieure : un fleuve impétueuxLa Loire Amont, un fleuve impétueux
La Loire, dernier fleuve sauvage dEurope est devenue depuis dix ans un véritable laboratoire du développement durable où les hommes tentent de concilier leurs activités avec le respect de lenvironnement. Gilbert Cochet est géologue et naturaliste. Depuis son avion qui survole les gorges de la Loire, il explique les principaux enjeux du fleuve. Tout a commencé avec labandon du projet de barrage en Haute Loire qui devait noyer 20 kilomètres de gorges vertigineuses. A Brives-Charensac, on a préféré faire la part de leau en déplaçant les habitations en danger. Au dessus de Roanne, le barrage de Villerest atténue lampleur des crues mais les habitants du val doivent retrouver une culture du risque. Cest le cas dun agriculteur de la Nièvre dont les prairies sont chaque année envahies par la Loire. Cest en partageant la vie de quelques ligériens que le film La Loire amont, un fleuve impétueux propose de redécouvrir ce fleuve emblématique.
14.10.03 : La France et la Directive Cadre Eau de l'Europe : une consultation du grand public
La Directive Cadre Eau de l'Europe qui établi le cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l'eau doit être transposer en droit français avant fin décembre 2003. Après les deux premières phases de concertation, le gouvernement lance une vaste vaste consultation du grand public. Cette consultation prend entre autre la forme d'une enquête auprès de la population. Le questionnaire est à completer et à renvoyer avant le 24 octobre. Il est disponible en ligne sur le site du Ministère de l'Ecologie et du Développement Durable.
Voir aussi les pages web du Ministère de l'Ecologie et du Développement Durable (MEDD) sur le Débat National sur la Politique de l'eau en France
Pour en savoir plus sur la Directive Cadre Eau :
Voir les pages web du MEDD sur la Directive Cadre Eau
Télécharger la directive intégralement (site du MEDD)
Visitez également nos pages sur la politique de l'eau et la gestion durable des rivières
14.10.03 : Numéro spécial du Magazine Terre Sauvage sur la Loire
Le magazine Terre Sauvage consacre un numéro spécial à la Loire : LOIRE FLEUVE LIBRE
(N°188 d'octobre 2003).
Au sommaire :
- Comment la Loire a été sauvée. Récit d'une catastrophe évitée. Par Fabrice Nicolino
- Les gorges. Naissance d'une sauvage. Par Fabrice Nicolino
- La Loire moyenne. Les caprices d'une souveraine. Par Maurice Soutif
- L'estuaire. Les blessures d'une grande dame. Par Maurice Soutif
- Loire Nature. protection rapprochée : les associatons s'affairent autour de la Loire. Par Ursula Lenseele
13.10.03 : Le mont-Gerbier-de-Jonc : on y monte, on y monte...gratuitement !
(source : www.Zoom43.fr)
En juin dernier, les propriétaires du site avaient instauré un droit de péage. Le 19 août, le tribunal administratif de Lyon suspendait ladite mesure, décision confirmée ces jours-ci par la cour administrative. L'ascension du mont-Gerbier-de-Jonc restera bel et bien gratuite.
Il faut dire que l'affaire aurait pu être rentable. Propriétaire d'une partie de ce gigantesque "rocher", René Ceyte - agriculteur et tenancier d'un bar-restaurant aux abors du site - décidait en juin dernier de rompre le contrat le liant au conseil général de l'Ardèche, lui reprochant de ne pas avoir réalisé les travaux d'aménagement et de sécurisation nécessaires.
En collaboration avec la commune Saint-Martial, propriétaire de l'autre partie du mont-Gerbier, allait être mis en place un droit de péage d'1 euro 50 applicable aux quelques cent mille personnes qui rejoignent, chaque année, le sommet (1 551 m d'altitude).
Problème, saisi par un recours du conseil général, le tribunal administratif de Lyon cassait le 19 août dernier la délibération du conseil municipal de Saint-Martial instaurant ladite taxe. Décision contre laquelle les propriétaires du site avaient fait appel mais qui vient d'être une nouvelle fois confirmée par la cour administrative de Lyon.
Le mont-Gerbier-de-Jonc redevient donc gratuit à la grande satisfaction du département qui lui a déjà prévu un vaste projet d'aménagement (1,5 million d'euros) qui prévoit - entre autres - la construction sur le site d'une maison de l'Ardèche, histoire d'accueillir les 500 000 personnes qui se rendent chaque année à la source de la Loire...
13.09.03 : Les rencontres de Villerest - Sensibilisation à la réduction des phosphates sur la Loire amont le 6 octobre 2003
Le 6 octobre se tiendront au Château de Champlong à VILLEREST dans la Loire les rencontres de Villerest sur le thème de la sensibilisation à la réduction des phosphates sur la Loire amont.
Programme :
- 10h00 : Accueil par Michel Derinck, Maire de Villerest et Yves Nicolin, Député Maire de Roanne
- 10h15: Introduction de la matinée et présentation de lobjectif de la campagne par Éric Doligé, Président de lÉtablissement Public Loire
- 10h30 : Présentation de la politique en matière de qualité de leau et deutrophisation par un représentant de la Commission Européenne*
- 11h00 : Eutrophisation des eaux sur le bassin Loire Bretagne - Constat des actions engagées en vûe de sa réduction par jean-Louis Besème, Directeur de lAgence de leau Loire Bretagne et Gilbert Naturale, Délégué régional de lAgence à Clermont-Ferrand
- 11h30: Lin exemple deffort de sensibilisation par Hervé Caltran, ingénieur au Syndicat Intercommunal dAménagement et dEntretien de la Reyssouze
- 12h00: Débat avec la salle
- 12h30 : Présentation de la campagne de sensibilisation à la réduction des phosphates par Frank Nicolas et Michael Dereux, Consultants
- 14h15 : Causes et conséquences de leutrophisation par Françoise Restituito, directeur du bureau détudes Eco-Hydro Services
- 14h45: Quelle eutrophisation àVillerest hier, aujourdhui, demain ? par Olivier Coulon,Agence de lEau, Michel Poulin, École des Mines de Paris et lUniversité de Clermont-Ferrand
- 15h30: Table ronde - Attentes et engagements des différents acteurs socio-
économiques et politiques
- Bruno Détanger*, Président de IALSAPE et jean-Paul Viricel, Président de la Chambre
dAgriculture
- Jean Bobillon, Président de lAssociation des communes riveraines de Villerest, Pascal Garrido, Vice-Président Environnement Saint-Étienne Métropole, Bernard jayol, Conseiller général, Président du SYMI.R.A. et Marc Place, Conseiller Communautaire du Grand Roanne
- 16h15: Débat avec la salle
- 16h45: Synthèse des échanges par jean-Claude Demaure, Président du Conseil dAdministration de lAgence de leau Loire Bretagne et Régis Thépot, Directeur de lÉtablissement Public Loire
- 17h00: Conclusion des rencontres par Michel Morin, Préfet de la Loire(* à confirmer)
Pour plus d'informations :Etablissement Public Loire
3, avenue Claude Guillemin
BP 6125
45 061 ORLEANS
Tel : 02 38 64 38 38
Fax : 02 38 64 35 35
sylvie.asselin@eptb-loire.fr
12.09.03 : 2ème rencontres naturalistes de Rhône Alpes : Fleuves et tourbières - richesses et enjeux des zones humides les 10, 11 et 12 octobre 2003
Organisées par la Réseau Patrimoine Naturel de la FRAPNA, ces rencontres s'adressent aux naturalistes rhônalpins de tous horizons (indépendants, asssociatifs, professionnels). Elles ont pour objectif de réunir des naturalites des huit départements de Rhône-Alpes pour un échanges d'idées et d'expériences (décloisonnement des départements et des thématiques). Le thème des zones humides, en régression partout en France, est un thème important quand on s'intéresse à la conservation des espèces et des milieux.
Les différentes interventions prévues permettent de l'appréhender de différentes manières : du théorique au plus concret.
Une journée de terrain viendra compléter ces deux journées en salle.Lieu de rendez-vous : Centre International d'hébergement
Route de Civens
Domaine du palais
42 110 FEURSContact : A. ULMER / 04 77 27 86 40 / ecopoleforez@infonie.fr
ou FRAPNA Loire
Maison de la Nature
4 rue de la Richelandière
42 100 SAINT ETIENNE
Tel : 04 77 41 46 60
Fax : 04 77 47 18 24Voir aussi le site officiel : http://www.frapna.org
11.09.03 : Festival de Loire du 24 au 28 septembre à Orléans
Orléans fête la Loire pendant cinq jours. Cette première édition du Festival de Loire est en effet loccasion pour la Ville de se tourner de nouveau vers son fleuve et de se réapproprier les quais. Pour plus d'informations : voir site de la ville d'Orléans et site officel du festival
Dans le cadre de cette grande fête aura lieu les 24 et 25 septembre un Colloque "Fleuves et Navigation de Loisirs" - 1eres rencontres européennes en Val de Loire. Plus d'information : télécharger le programme (format pdf).
10.09.03 : Barrage de Poutès sur l'Allier : réponse de Mme la Ministre à notre demande de saisine
Le 9 mai dernier nous adressions une lettre à la Ministre de l'Ecologie et du Développement Durable lui demandant d'intervenir sur le dossier de renouvellement de concession du barrage de Poutès sur l'Allier; barrage dont la concession arrive à terme le 31 décembre 2007 (voir loiremail N°56 du 15.05.03).
Dans sa réponse du 30 juillet dernier, Madame la Ministre, nous rejoint pour dire qu'étant donné les enjeux liés à ce renouvellement de concession (sauvegarde de la dernière population de grands saumons de l'Europe de l'Ouest), le dossier mérite en effet d'être traité à un échelon plus large que celui prévu par la loi (voir texte ci-dessous).
Ainsi, elle vient de demander au préfet coordonnateur du bassin Loire Bretagne d'examiner globalement l'impact des actions déjà réalisées en faveur des poissons migrateurs sur l'ensemble du bassin. Il devra également identifier les actions concrètes qui seraient à conduire d'ici 2015 en vue de la reconquête de l'ensemble de ce bassin par les saumons. Elle précise que l'hypothèse d'un effacement du barrage de Poutès devra être abordée et analysée à l'occasion des démarches de mise en uvre de la directive cadre sur l'eau. C'est un premier pas la prise de conscience est en marche !
" Monsieur le Président,Vous avez appelé mon attention sur le problème posé par le barrage hydroélectrique de Poutès-Monistrol sur lAllier, dont la procédure de renouvellement de la concession a été engagée par le préfet de Haute-Loire, suite à la demande déposée par EDF, concessionnaire actuel de louvrage.
Ainsi que vous le rappelez, la Loire est un des derniers axes majeurs de migration du saumon atlantique de lEurope de louest. Lintérêt patrimonial de cette espèce, inscrite à lannexe 2 de la directive habitat , a justifié de la part de IEtat la mise en oeuvre de plans successifs visant à sa conservation et sa restauration, afin de répondre à ses engagements européens.
Cette situation particulière milite effectivement pour que le problème posé par le renouvellement de la concession hydroélectrique de Poutès-Monistrol soit débattu dans un cadre plus large que celui prévu par les textes réglementaires qui définissent la procédure dinstruction des concessions.
Cest pourquoi jai demandé au préfet coordonnateur du bassin Loire-Bretagne dengager, avec le concours de tous les partenaires du bassin concernés par cette question, un examen global de limpact des actions déjà réalisées en faveur des poissons migrateurs sur lensemble du bassin de la Loire et une identification des actions concrètes qui seraient à conduire dici 2015 en vue de poursuivre la reconquête de lensemble de ce bassin par les saumons, en en chiffrant leur coût, les bénéfices environnementaux attendus et en en précisant leur priorité et léchéance envisageable.
Cet examen aura également vocation à participer à la préfiguration des démarches àentreprendre au titre de la mise en oeuvre de la directive cadre sur leau, du 23 octobre 2000 pour argumenter la désignation de certaines portions de cours deau comme masses deau fortement modifiées et pour identifier les masses deau pour lesquelles des reports de délais pourraient être demandés.
Lhypothèse dun effacement du barrage de Poutès-Monistrol devra être abordée et analysée à cette occasion.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à lassurance de ma considération distinguée.
Roselyne BACHELOT-NARQUIN "
04.09.03 : La sécheresse relance le débat sur l'utilité des barrages (LE MONDE)
Des gestionnaires de bassin estiment que les retenues d'eau ont permis de limiter l'impact sur les fleuves d'un été exceptionnel et voudraient reprendre certains projets. De leur côté, les écologistes sont prêts à recommencer le combat mené avec succès, dans les années 1990, sur la Loire.
(Infographie : Les 5 grands fleuves souffrent à des degrés différents du déficit de pluie )En 1949, à Orléans, la Loire se traversait à pied sec. La sécheresse qui sévissait cet été-là avait réduit le débit du fleuve au plus bas niveau jamais observé. Selon les observations de la direction régionale de l'environnement (Diren) du Centre, la situation aurait été comparable cette année si les barrages de Villerest, en amont de Roanne, dans la Loire, et de Naussac, sur le Donozau, en Lozère, n'avaient pas amorti la crise.
Ces retenues, inaugurées au début des années 1980, stockaient au début de l'été 310 millions de mètres cubes d'eau. Durant tout l'été, des lâchers ont maintenu l'étiage de la Loire à un niveau acceptable pour alimenter les centrales nucléaires et les autres activités dispersées le long du fleuve. A la fin du mois d'août, les deux retenues contenaient encore 140 millions de mètres cubes.
Ces barrages avaient été conçus à une époque où l'objectif était de domestiquer la Loire, dernier fleuve sauvage de France. Le coût de telles infrastructures et l'opposition des écologistes ont ensuite mis un coup d'arrêt aux autres projets, comme celui de Chambonchard, dans l'Allier. Des méthodes plus douces ont été privilégiées pour limiter le risque principal qui guette les riverains : les inondations. Cette nouvelle politique a été confirmée, en septembre 2002, par Roselyne Bachelot, ministre de l'écologie et du développement durable.
Mais la sécheresse de l'été est venue conforter les partisans de la construction de nouveaux barrages. "Il faut relancer le débat, sereinement, estime Eric Doligé, sénateur (UMP), président du conseil général du Loiret et de l'Association française des établissements publics territoriaux de bassin (EPTB), structures qui s'occupent de l'aménagement des grands cours d'eau. L'absence d'un certain nombre d'équipements a aggravé le manque. On se rend bien compte aujourd'hui que les barrages sont nécessaires."
Le sénateur a écrit aux ministres concernés et au président de la République, leur demandant "une réflexion" sur le sujet. M. Doligé attribue aux barrages de soutien d'étiage des vertus économiques, mais également écologiques. "La pollution ne se dilue pas quand les quantités d'eau sont faibles et les atteintes à l'environnement sont plus importantes", explique-t-il.
La Loire n'est toutefois pas le seul fleuve où la polémique, vieille de vingt ans, entre "bétonneurs des rivières" et "écolos attardés" est relancée. La Seine, estiment ses gestionnaires, a bien passé la crise grâce à ses aménagements. "Le débit du fleuve est soutenu par quatre barrages qui nous permettent de gérer parfaitement la situation", explique Frédéric Raout, de la Diren d'Ile-de-France. Aussi des voix s'élèvent-elles pour réclamer la mise en place des trois autres barrages-réservoirs initialement prévus.
D'autres solutions semblent cependant avoir démontré une certaine efficacité. Sur le Rhin, des biefs ont permis de maintenir le débit et la navigation sur cette artère commerciale vitale. A Strasbourg, le fleuve coule ainsi en moyenne à 1 075 m3/seconde, EDF pouvant contrôler les baisses de débit et faire varier ce chiffre selon les besoins de sa production.
A Rheinfelden, en amont de Bâle, en Suisse, et à Lauterbourg, à 60 km au nord de Strasbourg, où le Rhin coule à courant libre, les effets de la sécheresse ont en revanche été particulièrement ressentis.
A ces deux points, la situation est qualifiée de "tendue à très tendue" par Dominique Ritz, chef d'arrondissement au service de la navigation de Strasbourg. "Le risque de s'échouer en cours de route existe et le transport par voie navigable sur le Rhin en devient moins compétitif", explique M. Ritz.
Sur les cinq grands fleuves qui traversent la France, c'est toutefois la Garonne qui a le plus souffert durant l'été. Au mois d'août, son débit est descendu à 41 m3/seconde à Lamagistère et à 14 m3/seconde à Valentine, atteignant ainsi le débit de crise à cette station de mesure. Les lâchers opérés depuis les barrages EDF, soit 27 millions de mètres cubes, et les mesures de restriction imposées aux consommateurs ont à peine amorti le choc.
Pour le Syndicat mixte d'étude et d'aménagement de la Garonne (Smeag), cette situation vient justifier un énorme projet de retenue à Charlas, en Haute-Garonne. L'ouvrage, d'une capacité de 110 millions de mètres cubes, doit faire l'objet d'une enquête publique au cours du mois de septembre. Dix-huit projets de plus ou moins grande envergure attendent également de sortir des cartons pour le bassin Adour-Garonne.
Attentifs, les écologistes continuent de contester la nécessité de ces ouvrages. "C'est une réponse de lobby à un problème plus grave, et rien d'autre", estime Martin Arnould, de WWF-France. "Les barrages sont une réponse cosmétique, explique Roberto Epple, président de SOS-Loire vivante. La France est le pays d'Europe qui dispose du plus grand nombre de barrages de soutien d'étiage, sans régler le problème. Il ne faut pas intervenir sur l'offre, mais sur la demande. Il faut s'adapter aux quantités d'eau disponibles, économiser l'eau. En plein mois d'août, dans le Sud-Ouest, on voit souvent des cultures arrosées en pleine chaleur, avec des pertes dues à l'évaporation qui atteignent 50 %. Ce secteur consomme près de 70 % de la ressource en France. C'est un modèle agricole qu'il faut revoir."
Les écologistes font également valoir qu'il existe des réserves d'eau, comme les marais ou les tourbières, capables d'accumuler l'humidité en période pluvieuse et de la redistribuer en période sèche. "Sur le cours de la Loire, cette rétention naturelle est dix à trente fois supérieure à celle des barrages", assure M. Epple. Or ces zones humides sont actuellement malmenées. Dans le Marais poitevin, par exemple, de nouveaux drainages sont envisagés qui réduiront encore la capacité de cette éponge naturelle.
Entre les partisans des barrages et leurs opposants, les échanges d'arguments vont se poursuivre lors du débat national sur la politique de l'eau, prévu à l'automne. Cette discussion devrait ensuite aboutir à la rédaction, prévue en 2004, d'un projet de loi sur l'eau, énième tentative de légiférer sur ce dossier épineux.
Xavier Gillet et Benoît Hopquin / Le Monde 4.09.03
02.09.03 : L'association SOS LOIRE VIVANTE a organisé un chantier international sur le site du Mas de Bonnefont (commune de St Martin de Fugères).
Ce chantier a accueilli 10 jeunes venant de toute l'Europe (Allemagne, Autriche, Suisse, Turquie et France) du 10 au 30 août 2003.
Les objectifs de ce chantier ont été de réaliser les travaux permettant d'intégrer l'homme dans le cycle de l'eau. Pour cela l'association met en place un système d'assainissement biologique qui consiste à traiter les eaux usées dans un système de filtres à sable plantés de roseaux. Les eaux ainsi épurées sont envoyés dans un bassin de collecte où elles sont stockées avant d'être réutilisées dans les sanitaires, ce qui permet des économies d'eau très importantes.
Cette première phase de travaux a permis de réaliser le terrassement nécessaire à l'installation des bassins accueillant les filtres à sables plantés de roseaux et d'aménager le bassin de collecte en mare pédagogique.
Les volontaires venant de toute l'Europe, ont pu ainsi découvrir comment on peut vivre, sur un site isolé non raccordé au réseau d'eau potable, en recueillant les eaux de pluies et en ayant une gestion écologiques (traitements par des méthodes 100% naturelles) des eaux usées. Ils ont pu également découvrir la richesse de la Haute Vallée de la Loire (faune, flore, géologie, ) au travers de nombreuses randonnées organisées par l'association.Le 29 août, le chantier prend fin par un repas international au cours duquel nous présenterons les travaux réalisés pendant les 3 semaines et où les personnes intéressées sont invitées à venir partager et échanger leurs expériences avec celles des volontaires.
SOS LOIRE VIVANTE invite les rédactions à venir partager ce moment convivial.
Fabien CLEMENT
Chargé de mission
Sensibilisation aux
Milieux naturels et
Actions internationales
26.08.03 : Assemblée Générale de SOS Loire Vivante vendredi 19 septembre à 17h30 Salle de conférence du Centre Pierre Cardinal au Puy-en-Velay
Ordre du jour:
- rapports moral et financier
- élection du CA
- perspectives et diversLe CA actuel se représente entièrement. Toutefois, afin d'en augmenter le nombre de membres, toute candidature est possible sur demande par écrit adressée au Président au siège de l'association, au plus tard le 16 septembre.
A 19h30 se tiendra une discussion entre adhérents, représentants associatifs et Pedro Arrojo autour d'un repas convivial pour l'ensemble des personnes présentes (buffet froid).Soirée conférence/débat publique avec Pedro Arrojo sur la nouvelle culture de l'eau (Professeur à la faculté de Saragosse, fondateur de la fondation pour une Nouvelle Culture de l'Eau, leader du mouvement contre le PHN en Espagne et Prix Goldman 2003),
vendredi 19 septembre à 20h30, salle de conférence
du Centre Pierre Cardinal au Puy-en-VelayAu programme: conférence de Pedro Arrojo accompagnée de la projection d'un extrait d'un film d'ARTE sur le PHN (conférence, discussion et film sont en Français!), présentation et discussion autour de la Nouvelle Culture de l'Eau. Suivra un débat animé par Roberto Epple sur le thème de la Solidarité Internationale pour l'Eau.
ENTREE GRATUITE!!
Inauguration du Solaire à Bonnefont les 20 et 21 septembre
· samedi 20 septembre:
- 16h00, rendez-vous au parking des Salles de St Martin (Commune de St Martin-de-Fugères) pour une promenade découverte (présentation du cadre Natura 2000, de la gestion des terrains, ) entre Goudet et le Mas de Bonnefont le long de la Loire, en présence Pedro Arrojo, avec Roberto Epple, Michel Soupet et Christophe Tomati. Un transport au départ de la marche sera assuré sur place. Pas d'inscription préalable. Repas du soir offert. Contribution à l'appréciation des participants.
· Dimanche 21 septembre:
- 11h30: rencontre des souscripteurs, discussion sur les travaux entrepris, l'avenir du Mas, visite de l'assainissement biologique et du chantier en cours au Mas, Pique-Nique en commun (possibilité de restauration sur place contre petite contribution ou repas tiré du sac).
- 14h30: inauguration officielle de l'installation solaire, avec visite et explication par des membres de l'association ERE 43 (Energies Renouvelables Haute-Loire) et avenir du solaire dans notre département.Nous comptons sur votre présence pour l'ensemble de ce week-end!
Rencontre de la culture fluviale le 21 septembre 2003 à la Possonnière (Maine et Loire)
Rencontre de la culture fluviale, avec présentation d'engins de pêche traditionnels, évolution des vieux gréements, chants des mariniers, exposition sur les traditions ligériennes.
Renseignements au 02 41 39 08 48
12.08.03 : Le week-end du 19 au 21 septembre 2003 l'association SOS Loire Vivante organise différents évènements au Puy en Velay
son assemblée générale
- une soirée débat sur le thème des transferts d'eau entre bassins avec l'intervention exceptionnelle de Pedro Arrojo, leader du mouvement contre le Plan Hydrologique National Espagnol
Pour plus d'info sur le PHN- l'inauguration de l'installation solaire au Mas de Bonnefont (ferme isolée entièrement rénovée par l'association dans la Haute Vallée de la Loire).
Plus plus d'info sur le Mas de BonnefontColloque "Les poissons migrateurs, un patrimoine régional" le 16 octobre à Rennes
Ce colloque a pour objet de mieux appréhender le patrimoine naturel que constituent les poissons migrateurs en Bretagne. Cette région se montre particulièrement riche en espèces migratrices, malgré de nombreux problèmes tels que les obstacles à la migration ou l'altération des milieux aquatiques. A mi-parcours du programme "milieux aquatiques et poissons migrateurs" du contrat de plan Etat-Région qui s'achèvera en 2006, ce colloque permettra, après un positionnement de la région au niveau des politiques européennes et nationales inscrites dans l'objectif d'un développement durable, de faire un bilan de l'état des deux espèces emblématiques que sont le saumon et l'anguille.
Programme, renseignements et inscriptions sur le site : bretagne-environnement.org